Après une matinée bien remplie, j’ai décidé de prendre le tram jusqu'à mon endroit favori, la mer !
Je m’étais vêtue d’une légère robe blanche pour cette occasion, je descendis du tram, et l’odeur de la mer s’empara de moi.
Le crie des mouettes, le reflux des vagues, le sable chaud, les coquillages… Tout était présent, le sourire jusqu’au lèvre, j’avançais sur le sable avec mes affaires.
Je me dirigeais vers la plage privée de l’école, même si je ne suis que boursière, moi aussi j’ai droit à un peu de confort, les plages publiques sont toujours blindées d’enfants et de gens, tout cela dans un brouhaha en bruit de fond.
Arrivé à la plage de l’école, j’ai du décliné mon identité bien sur, car on ne rentre pas comme ça.
Puis j’entra dans cette fameuse plage qui était très bien équipées, toboggan, vendeur de glace, de chichi, de boisson, plusieurs parasols avec des bains de soleil. Des cabines séparé pour se changer et avec tout cela, un ciel bleu magnifique, sans aucun nuage et le sable brûlant.
_ Trop heureuse….
Oui je l’étais, alors sans tarder, je couru comme une enfant sur la plage, puis je m’installa un peu en recul des autres élèves pour être plus tranquille.
J’enleva ma robe et la posa sur un rocher qui était juste à coté de moi, en dessous, j’étais déjà en maillot de bain, c’est un bikini que j’ai acheté auparavant, il est noir tout comme mon regard et mes cheveux.
Jamais vous ne me verrez en rose, ou en jaune ça c’est sur !
Je déposa ma serviette sur le sable et je m’installa dessus, protection oblige, je commençais à mettre de la crème solaire, sur mes bras, mes jambes, ma nuque, mon cou, mon visage et mon… argh… mon... …
J’arrive pas à faire le dos !! Je suis sur que même une contorsionniste n’y arriverais pas !
Pourtant je suis souple mais là…
Je me tortillais dans tout les sens pour au final, finir allonger sur le ventre de ma serviette de plage, fatiguée de mettre tordu dans tout les sens.
J’ai pas réussi à mettre de la crème sur mon dos… ça me contrarie parce que j’aime bronzer, mon teint pâle à besoin de couleur… mais je n’aime pas les coups de soleil ! ça fait mal !
Tant pis pour mon dos alors, je ne vais pas me redonner en spectacle devant tout le monde.
Je saisit mon chapeau de paye et je le posa sur ma tête, puis je ferma les yeux doucement tant la chaleur était assommante.
Le début de l’après midi démarrais doucement, et moi, je commençais à cuire en esperant ne pas chopper de coup de soleil dans le dos…