Enfin arrivé !

J'étais enfin arrivé dans mon appartement, derrière moi se trouver un homme d'une trentaine d'année portant mes trois valise, il les déposa et partie aussitôt. Ma colocataire n'était pas encore la, je décida donc de prendre le lit à côtes de la fenêtre.

* Tant pis pour elle, elle prendra celui à côte du mur. *

J'installe ma première valise sur mon lit, je sortie mes première affaire et m'arrêta.

* Mais qu'elle idiote que je fait *

Je prie mon téléphone rose et blanc dernier crie, je marqua le numéro avec mon stylet blanc et attendis.

<< Hmm, allez répond...Ah, Edward ! Que faites vous bon sang! Mes affaires ne vont pas se ranger toute seul ! Venez ici tout de suite >>

L'homme arriva dans la chambre et se mit à vider la valise. Pendent ce temps j'admirai la chambre, il y'avait deux lits à deux place, deux bureaux, un écran plasma et tout le confort que moi et ma colocataire avait besoin. Mon majordome ayant terminais repartie, et fut réjouis de ne plus me revoir avant l'année prochaine. Je m'approcha de mon lit et détacha mes cheveux pour m'allonger.

* Pfff, qu'elle journée fatigante, enfin je suis arrivé dans se lycée. Il à intérêt à être à la hauteur de mes ésppèrences. *

Quelqu'un toqua, et une jeune fille un peu plus âgée que moi apparue. Elle porté des habits assé simple à mon gout. Elle commença à s'installer et sortie ces affaires, je la regarda bizarrement et prit enfin parole.

<< Je suis désoler darling, mais ici se n'est pas la chambre des boursier. Tu es dans la chambre de deux very riche jeune filles. C'est beau de rêver mais les boursier c'est pas ici ! >>

Je m'avança vers elle prit ses affaires et les jeta devant la porte de la chambre et pointa du doigt la sortie à cette sois disant Rya. Après quelque seconde de réflexion, je remarqua une lettre de l'académie Seta.

* Rya Ashina chambre des fille numéro 1 , oups la bêtise, raah pis c'est sa faute elle n'avait qu'a mettre des habit plus approprié à son rang *

Je dévisagea Rya une nouvelle fois, je devint rouge de honte, je reprit ses affaires et ferma la porte avec mon pied et posa son sac sur le lit.

<< Je suis désolé pour mon attitude Ashina Rya. Mais avec tes vêtements je tes prise pour une pauvre boursière. Je suis Ayamii Mitsumii ta nouvelle collaboratrice. >>

[ Que je suis méchante xD ]

Je sortis l’enveloppe de mon jean avant de l’oublier et la jeta sur mon lit sans me rendre compte que la lettre était à moitié sortie. Puis, je sortis quelques t-shirts de mon gros sac pour commencer à les ranger. Etant dos à la jeune fille et un peu concentrer par la tâche que j’étais entrain de faire, je ne compris pas tout de suite ce que ma nouvelle colocataire venait de me dire…

Je la sentis par contre très bien quand elle fut à côté de moi, mais je fus estomaqué par son geste… Elle venait de prendre mes affaires et les mettre devant la port, pointant le doigt sur celle-ci, m’indiquant clairement la sortie…
Et me rendis compte de l’importance de ces paroles… Elle se prenait pour qui ? Une princesse ? Tout ça parce que elle avait eut la chance d’être née dans une famille riche ?
Je savais que c’était mon irritation qui parlait, mais pour l’instant je ne me focalisais que sur les défauts de cette fille.
Etant méfiante de nature, et aimant pas vraiment être entourée de mes semblables la plupart du temps, j’avais eu la chance de tomber sur une fille pourrie gâtée qui pensait qu’elle était au-dessus de tout le monde. L’année commençait bien.

Je me retourna et je respira à fond mais mon irritation ne partit pas. J’allais lui dire ma façon de penser quand je la vis rougir. Je regarda là où la jeune fille avait posé son regard et je vis alors ma lettre de validation… J’eu un petit sourire amer.
Qu’est-ce qu’elle aurait fait si elle avait eu affaire à un vrai boursier ?

Elle redéposa le sac qu’elle avait balancé sur mon lit avant de fermer la porte d’un coup de pied.

*Bien ! En plus de se croire supérieure, elle n’a aucun respect pour le matériel…*

Elle prit alors la parole, et mon irritation augmenta quelque peu sans que je sache si mon interlocutrice l‘avait remarquer ou non.

« Je suis désolé pour mon attitude Ashina Rya. Mais avec tes vêtements je tes prise pour une pauvre boursière. Je suis Ayamii Mitsumii ta nouvelle collaboratrice. »

Le « pauvre boursière » me resta en travers de la gorge, mais le fait qu’elle s’excuse me prouva qu’Ayamii avait des qualités. Je respira à fond, je compta jusqu’à dix et prit la parole d’un ton neutre pour donner mon point de vue mais avec un sourire pour atténuer tout de même la dureté.

« Après ta petite démonstration, je vois bien que tu as un certain manque de respect pour les personnes qui n’ont pas la même richesse que tes parents. L’argent peut venir très vite comme il peut repartir tout aussi vite. 
Mon père est riche mais on vit comme tout le monde, et je m’achète depuis mes 15 ans environ ce dont j’ai besoin en travaillant, mais tu ne dois pas connaitre.
L’argent ne sert que pour aider ceux qui sont dans le besoin, au niveau des hôpitaux ou d'associations par exemple.
Et si tu te poses la question, je ne suis ici que pour honorer une vieille promesse… »

Je sentis déjà une petite tension s’installer entre nous. Je me trompais peut-être, mais j’avais l’impression que personne n’avait jamais parlé comme cela à Ayamii Mitsumii et que cela l’irritait tout en la surprenant. Mais je ne m’en préoccupais pas. J’avais quelque chose à dire et je le dirais, après ce qu’elle pensait de moi j’en avais rien à faire du moment que notre colocation se passait bien.
Je continua.

« Je suis ta colocataire pour cette année sauf si il y a des changements de chambres, et je pense que quelques règles de savoir vivre seraient pas plus mal, pour éviter des disputes inutiles.
La prochaine fois que tu « touches » mes affaires sans me demander avant, je pense que vu mon caractère ça se passera mal. Ensuite, si l’une de nous deux est déjà dans la salle de bain, l’autre doit attendre qu’elle est fini. Si c’est pour une urgence, on attend tout de même le feu vert de l’autre. Enfin, chacune range ces propres affaires, et on fera une alternance pour le ménage de la chambre. Cela sera plus facile. »

J’avais dis ce que j’avais à dire. Je pouvais maintenant reprendre ce que j’étais entrain de faire mais avant, pour éviter tout malentendu, je souris une nouvelle fois, plus sincèrement à la jeune fille en face de moi et termina avec un ton plus jovial.

« Ne t’inquiète pas, tu es toute pardonnée pour ton attitude mais la prochaine fois, évite de te fier aux apparences… » Une manière détournée pour lui signifier que ce n’était pas parce que certaines personnes n’étaient pas riches que cela voulait dire qu’elles n’étaient pas intéressantes ? Tout à fait !!! « Par contre, j’aurai besoin que tu me dises quel dressing, quelle commode, etc., tu as pris pour tes affaires s’il te plait ? Pour éviter de les mélanger avec les miennes… »

Tout en attendant sa réponse, je m’attela à déballer tous mes vêtements, dont plusieurs étaient les mêmes… Logique, j’avais fais un certain uniforme pour les cours en plusieurs exemplaires !

[Désolée pour l'attente, je n'ai pas été là ce week-end. J'espère que ma réponse te conviendra. Bisous !]

Je fut choqué par l'attitude de ma collaboratrice. Personne ne m'avait jamais parler sur se ton.

* Non mais dit pour qui elle se prend celle la ! C'est pas parce que elle est plus grande que moi qu'elle peut faire sa lois seul moi peux faire ma lois. L'année commence mal ! *

Je fit un regard noir à Rya et me retourna, je prononça quelque mots avant de partir vers mon lit.

<< Bien, si tu ne veux pas que nous soyons dans la salle de bain toute les deux, je serais la première, je passe minimum une demis heure à une heure la bas. Et pour le dressing le tient et la bas. >>

Je pointa mon doigt devant une commode en bois tous près de son lit.

<< Ayant plus d'affaire que toi * et plus jolie * je me suis permit de prendre la plus grande. Bien maintenant ne me dérange pas je doit téléphoné. >>

Je laissa Rya pour partir vers mon lit, je prit mon téléphone et après avoirs fait le numéro je le mis à mon oreille.

<< Allo, mère ! Oh je suis si contente de vous avoir ! J'ai tellement de chose à vous...Oh vous préparer les fiançailles de votre belle fille...bien je vous laisse. >>

Je me mis sur le lit et une larme coula sur ma joue, je l'essuya aussi vite qu'elle apparue.

<< Raah pourquoi je pleur moi c'est idiot. Pleuré en public n'est pas digne d'une jeune fille comme moi.>>

Je me remit debout et partie vers la porte et m'arretta net pour me retourner directement vers Rya.

<< Je vais allé visité le lycée donc ne compte pas sur moi pour t'aidée, oh mais j'y pense je ne t'aiderée jamais même si j'avais le temps. Mais si tu veux des conseil pour tes vêtement je voudrais bien t'aidée. >>

J'ouvris la porte et disparut aussi vite, quand je la ferma, je m'accroupie et me mis en larme comme dans mes habitude.

[Hello, je ne suis pas très fière de ma réponse, j'espère que tu l'aimeras tout de même ^^ Prends ton temps pour répondre, je ne suis pas une pressée Si il y a quelque chose qui te gêne, dis-le moi ^^ Bisou !]

Quand Ayamii partit vers son lit tout en me jetant un regard noir, je sus que cette jeune fille était quelque peu vexée par mon attitude… Rancunière ? J’en avais aucune idée, mais mon instinct me disait que oui.

Par contre, entre une demi-heure et une heure dans une salle de bain, même en étant une fille, je la comprenais pas… Entre bien d'autres choses bien sûr. On avait beaucoup de choses plus intéressantes à faire que de passer une heure dans la salle de bain. Enfin chacun faisait comme il voulait. Chacun ses priorités. Je la regarda quelques secondes pour voir dans quelle direction elle m’indiquait mon dressing, ainsi que la commode…

Alors que je rangeais mon sac sous mon lit, j’entendis plus que j’écouta la courte conversation téléphonique de ma colocataire. Et je fus surprise qu’après tout le voyage de sa fille, la mère d’Ayamii préférait s’intéresser à un mariage qu’à sa propre fille.
N’ayant pas eu la chance de connaitre ma mère, j’ en avais une image de bonté, de gentillesse et d’amour… Mais il y en avait d’autres « mères » qui n’étaient pas comme ça.

Revenant à la réalité plus parce que la jeune fille le dit que je vis qu’elle pleurait, je me redressa, et tout en me tournant vers elle, j’allais lui demander si elle avait besoin de parler même si j’aimais pas m’occuper de la vie des autres… Seulement ma colocataire se mit debout si vite après avoir précisé que les larmes n’étaient pas digne d’elle, que je ravala ma question.

Elle se dirigea vers la porte mais, se retourna vers moi d’un coup. Prenant mon second sac, je lui souris et la regarda dans les yeux. Elle prit alors la parole, et mon sourire devint plus ironique qu’autre chose.

Je lui répondis comme à mon habitude, franchement.

« Je me débrouille seule depuis longtemps, et je n’attends aucune aide de ta part… Je suis même sûr que tu ne sais pas plier le linge. » Retrouvant un sourire plus sincère face à sa proposition, je lui répondis plus gentiment. « Et question mode, je te remercie, mais j’aime mes vêtements, et même si ton look te va très bien, je n’ai aucune envie de l’avoir. »

Ma réponse terminée, je me retourna tenant mon sac en bandoulière pour aller vers le bureau le plus proche pour moi, qui par chance était vide, et commença à ranger mes affaires scolaires. J’entendis la porte se refermer.
Je soupira doucement. J’arrêta de ranger mes affaires, et m’assit à même le sol… Je ne comprenais pas mes semblables, surtout les filles. Mais alors les filles riches, du type d’Ayamii je ne les comprenais encore moins. Comment pouvait-on se croise au-dessus des autres ? Enfin, c'est comme si je me posais la question, pourquoi certaines personnes se droguent, d'autres boivent, d'autres se suicident, et d'autres encore tuent des gens... Personnes n'avaient vraiment la réponse, on donnait juste des hypothèses qu'on transformait en réponses...
Renonçant à me faire en penser une réflexion philosophique, je finis de ranger mes affaires, quand j’entendis le téléphone.
Et cela venait du lit de ma colocataire. La barbe, elle venait juste de partir.

Je me releva, et ouvrit la porte et... Je la vis.
Elle s’était accroupie devant, et son corps avait de petits tremblements, qui tout de suite m’informa qu’elle pleurait.
J’étais une experte en judô , pas une de ces psychologues à la noix qui s’y connaissait en émotions humaines, et pour consoler quelqu’un j‘étais encore en-dessous… Ecoutant alors mon instinct, je m’accroupis derrière elle, et je lui dis d’une voix que j’aurais aimé un peu plus douce.

« Ton téléphone vibre, c’est peut-être la personne que tu as appelé il y a quelques minutes ? »

Mon malaise grandit, face au peu de réactions de ma colocataire. Je me leva alors, je me dirigea vers son lit, pris le téléphone qui vibrait toujours et revint vers elle. Je le mis à côté d’elle.
Pour éviter déjà d’entendre la conversation et ensuite de me retrouver avec une nana pleurant dans les bras, chose qui m’hérissait le poil rien que dit penser, je retourna m’occuper de ranger mon bureau.

Rya se trouva derrière moi, j'essayai de cacher mes larme mais sans sucé, je fit signe de l'ignorai. quand elle posa mon téléphone " dernier crie " à côtes de moi je releva la tête mais elle était déjà partie. je regarda l'écran montrant une photo, c'était une amie. j'appuia sur le bouton rouge. Je n'avais aucune envie de répondre à une de mes amie alors que j'étaie en sanglot. Je me releva et me dirigea vers la porte de ma chambre. Rya était en train de ranger son bureau je m'approcha d'elle et lui toucha l'épaule.

<< As tu une maman qui t'aime Rya ? >>

Quand ma colocataire se retourna je n'osai plus la regardai.

<< Désolé je te laisse ranger ton bazarre démoder. >>

Et je partie vers mon lit tranquillement.

* Raah cette Rya m'énerve, comment à t'elle put touchai à se téléphone. En plus à me donnai de t'elle ordres. Sa se trouve se n'est qu'une vulgaire boursière qui se fait passait pour une riche girl, et son style de vêtements is so has beeeeeeene. Voila à cause d'elle je n'ai plus envie de maquiller pour les beau garçons. Qu'elle plait. *

[ Trèèèès court mon rp je sais --" ]

J’était entrain de me battre avec un classeur quand je sentis une main me toucher l’épaule, qui ne pouvait qu’appartenir qu’Ayamii. Je ne l’avais pas entendu ni vu rentrer dans la chambre, mais cela devait signifier que sa crise de larmes était terminée…
Je ne me retourna pas tout de suite, mais j’entendis nettement la question que me posa la jeune fille. Et cela me glaça le sang… Comme à chaque fois qu’on abordait ce sujet.

Sans vraiment le vouloir, je venais de me fermer comme une huître, et c’est avec un regard noir que je me tourna vers ma colocataire tout en disant d’une voix où aucune émotion ne perçait.

« Je n’ai jamais eu de mère. »

J’allais me concentrer de nouveau dans mon rangement, quand mon irritation grimpa en flèches. Le caractère de cette fille allait bien cinq minutes mais elle avait intérêt à vite se calmer. J’avais un certain sang-froid grâce au judô mais j’étais humaine avant tout et à force de me chercher, Ayamii allait me trouver.

Qu’est-ce que cela pouvait lui faire si mes affaires n’étaient pas des marques ? Ce n’était pas parce que je ne préférais un style de vêtements différent que le sien qu’elle devait me manquer de respect…

J’arriva à canaliser mon irritation, et à l’utiliser pour ranger plus vite mes effets personnels… Quand j’eus fini de mettre tous mes affaires scolaires dans mon bureau, mon journal dans le tiroir de la table de nuit, mon réveil dessus, mes vêtements dans le dressing…
D’ailleurs, seulement la moitié du dressing était rempli ce qui m’amena un petit sourire aux lèvres.

Je plia ensuite tous mes sous-vêtements pour les ranger dans la commode, deux tiroirs sur quatre étaient plein à la fin. Je pris alors mon dernier sac, et je sortis ce que Tsuka avait cru indispensable pour moi et mes études : un ordinateur portable dernier cri et mon téléphone.

Le téléphone était un téléphone noir tout simple à clapet qui ne faisait qu’appel et texto, mais cela me suffisait. Je l'avais acheté grâce aux économies que je m'étais faite en faisant de petits boulots. Tsuka par contre m’avait offert l’ordinateur pour mon anniversaire… Bien sûr j’aurai refusé si j’avais su ce que c’était mais cet adorable fourbe m’avait fait promettre avant d’ouvrir le paquet de l’accepter.

Mettant le tel sur la table de nuit, et l’ordi sur le bureau puisqu‘il y avait assez de place pour le mettre malgré l‘ordinateur déjà installé. Je l’alluma, le connecta sur internet juste pour voir si le Wifi fonctionnait, puis l’éteignit.

Revenant totalement au présent, sans mon irritation de toute à l’heure, je regarda ma colocataire, et ne pus m’empêcher de lui dire.

« On dirait que ça va mieux. Si tu as besoin… »

Prenant alors mon sac que j’avais rangé sous le lit, je le mis dans le dernier tiroir de ma commode, avec mon sac à dos puisque je ne l‘utiliserais que pour le sport voire les sorties en ville. Voyant qu’il ne restait plus que mon sac en bandoulière, que j’utilisais pour les cours, je le mis aux pieds de mon lit puis je m’assis sur celui-ci.

« Aaaah enfin terminé ! » Regardant de nouveau Ayamii, je lui demanda.
« Tu es à l’Académie depuis longtemps, ou c’est la première année que tu fais ici ? »

[ Désoler pour le retard ><" ]

Le " J'ai jamais eu de mère " me fit froid dans dos, les parole qu'elle avait dit n'avait aucune émotion. Je l'ignora quelque instant et l'envie de me maquiller me revint en tête.j'ouvris un des tiroirs de ma table de nuit et une dizaine de vernies de toutes couleurs apparue. Je les regarda tout et choisie le rose & le blanc.

* Un dégradé sa serait super ! Bon, le scotch ... Il doit bien avoir du scotche ici ! *

Examina la pièce doucement et vit un rouleau sur le bureau de ma colocataire. Elle était toujours en train de ranger ses affaires je m'approcha de son bureau et prit le rouleur.

<< Je t'emprunte ton scotch Rya j'en ai vraiment besoin >>

A peine eut elle le temps de placé un mot je le prit et partie vers mon lit et m'installa tranquillement, je retira mes ballerine et mon gilet portant l'emblème du lycée. Je me mit en tailleur et pose les vernies devant moi. Je pose le scotch sur la moitié de mes doigts et mis le rose sur la partie non couverte. Des que j'eu finit avec mon rose je le posa et prit le blanc. Je retira délicatement le scotch et plaça le vernie blanc à la place.

* Voila enfin terminai ! Je regrette d'avoir mis se rose, un blanc simple aurez fait plus classe,pff y'avait pas qu'a avoir tout se choix. *

« On dirait que ça va mieux. Si tu as besoin… »

Je me retourna vers ma colocataire, elle avait commençait sa phrase mais ne l'avait pas terminai, je la regarda quelque seconde et retourna à mes moutons, mais à peine le temps que je range mes vernies elle me posa une autre question.

* Non mais elle se fiche de moi la *

<< Moi, ici ? Se n'est que ma première années. Mais normalement je devrai être dans mon ancien collège j'ai 14 ans et non 15. Je suis née en fin d'année en Novembre. Et toi tu doit être en troisième année non ? Tu as de la chance de faire partie des plus grands, mais pourquoi est tu dans cette académie ? Moi, c'est tout d'abord pour être aussi populaire que dans mon ancien collège, mais se n'ai que pour sa mais sa c'est SD [Secret Défense xD]. >>

Je fit un clin d'œil à Rya, et me mis pensée la raison de mon inscription, tout cela s'agissait d'un garçon d'on j'était tombée amoureuse il y'a très longtemps. Etant au courant de tout, j'appris qu'il avait entrer dans l'académie c'était vraiment sa la raison.

[ Groooooos retard je sais --" ]

C'était bien la question la plus idiote que l'on met posé, mais je répondu sans me moquer.

<< Hé bien, comme sa. Enfin au début c'était par obligation. Chez nous si tu n'est pas assai féminine, tu n'est pas accepter par la société. Donc que j'aime le vernie ou pas je me sent quand même obliger d'en mettre. >>

Vu le regard de Rya je compris qu'elle fut assai choqué par ma réponse. Je me contenta de lui sourire. Quand soudain je ressue un coup de fil de mon major d'homme. Je mis mon téléphone et me tourna vers la fenêtre donnant vu sur la plage priver de Lycée.

<< Allo. ...Vous en êtes sur ? ...Très intéressant. Merci beaucoup pour les informations. >>

Je raccrocha et posa mon portable sur la table qui se trouvai à côtes de mon lit. Je me dirigea vers Rya, d'un air colérique.

<< Je vient de recevoir un coup de fil, parlant d'un blog non officiel du Lycée, il s'amuserait à raconter des rumeurs sur les élèves. Et on parle déjà de nous, regarde sa ! >>

Je reprit mon portable et montra une capture du blog.




<< Pourtant je suis sur de ne pas avoir vu quelqu'un trainée dans le bâtiment ! Je suis rouge de honte ! Si je trouve celle ou celui qui à fait sa il va entendre parlait du pays ! Je n'ai pas de temps à perdre avec toi, je part visiter le reste du lycée. >>

Je mit mon portable dans ma poche et mit mes chaussure, je partie en courant vers la porte et la ferma doucement pour partir vers la cours principal du collège.

[Bonsoir ! Voilà mon petit poste, le tien m'a inspiré d'où ma réponse rapide. Je pense bien que ce premier Rp entre colocataire est terminé... Si tu n'apprécies pas quelque chose dis-le moi, si tu veux répondre... Comme tu veux, au gré de ton imagination, bisou !]

Je savais que ma question était idiote, et le fait est que quand je croisa le regard d’Ayamii, j’en eus qu’une nouvelle confirmation. Pourtant, elle me répondit sans qu’il y est une once de moquerie dans sa voix. Et cela m’étonna.
Depuis le début de notre rencontre, il y avait maintenant un peu plus d’une heure, on ne pouvait pas dire qu’Ayamii avait été aimable avec moi, et je pensais vraiment que c’était parce qu’elle n’avait pas vraiment trouvé la colocataire riche de son rang ayant les mêmes centres d’intérêts qu’elle.

Sa réponse à propos du vernis d’ailleurs ne fit que confirmer qu’on avait une vision du monde totalement différente.
Pourquoi aller jusqu’à se mettre du vernis sur les ongles alors qu’on l’aime pas ça pour plaire à des personnes qui ne t’apprécient même pas ?
Toutes ses amitiés devaient être basées sur ce fait : l’apparence. Mais comme Ayamii évoluait dans ce milieu depuis sa naissance, elle ne connaissait que ça, et pour elle ce monde était tout ce qui avait de plus normal, par conséquent, elle aimait cette vie.
Je comprenais donc maintenant un peu mieux pourquoi elle avait balancé mes affaires quand elle m’avait prise pour une boursière… Et encore, maintenant qu’elle était sûre de la richesse que possédait mon père, elle me montrait seulement le minimum de respect puisque je n’avais pas la tenue, la classe qui allait avec.

Je fus quelque peu interrompu dans mes réflexions par la sonnerie du téléphone de ma colocataire, et grâce à cela je pus terminer de ranger mes livres. Je mis alors mon sac au pied de mon bureau et je me rassis sur mon lit…

Et Ayamii me tomba dessus.

« Je viens de recevoir un coup de fil parlant d'un blog non officiel du Lycée, il s'amuserait à raconter des rumeurs sur les élèves. Et on parle déjà de nous, regarde ça ! »

Je pouvais comprendre le fait que l’on dit du mal des élèves dans un blog la mettent en colère, mais ce n’était pas une raison pour se défouler sur moi. Avant même que je puisse le lui dire pour qu‘elle puisse se calmer un peu, elle me mit son portable sous les yeux, tellement près que je ne pus lire quoi que se soit. Elle continua sur sa lancée, frôlant presque l’hystérie.

« Pourtant je suis sur de ne pas avoir vu quelqu'un trainer dans le bâtiment ! Je suis rouge de honte ! Si je trouve celle ou celui qui à fait ça il va entendre parler du pays ! »

Pourquoi se prendre la tête sur des rumeurs ? Je n’en voyais pas l’intérêt, surtout que cela nous faisait gaspiller de l’énergie pour rien. Mais, j’évita de dire le fond de ma pensée, prévoyant une autre réaction intempestive d’Ayamii.
D’ailleurs, après cette crise de colère, mademoiselle qui était si fière de son apparence ne reflétait plus son rang comme elle le voulait. Sa colère avait amené des rougeurs sur ses joues, ses yeux étaient trop brillant, elle respirait un peu trop fort et même ses vêtements avaient quelques plis…
Je retins un rire face à cela…

« Je n'ai pas de temps à perdre avec toi, je pars visiter le reste du lycée. »

A ce moment, je fus quelque vexé, mais surtout irrité. Elle se fichait du monde, c’était elle qui venait me parler sur un ton agressif et qui m’avait accueillit en me montrant la porte. Et je ne pus m’empêcher de dire, tout en la suivant des yeux :

« Tu me fais surtout perdre le mien en parlant d’une chose dont je n’ai que faire. Evite pendant ta visite de trop te montrer sinon on va encore dire des choses sur toi… »

Quand elle ferma la porte de la chambre derrière elle, je ne pus retenir un soupire. Ayamii avait des défauts, certes, mais elle n’était pas la seule, et je ne pouvais pas dire qu’elle était la seule à blâmer dans le fait que notre colocation avait bien mal commencé.

Je me leva alors, et me mis à mon bureau, j’alluma l’ordinateur portable, et me connecta sur internet… Je remarqua qu’en page d’accueil, en plus de celles que j’avais sélectionné, une page s’était ouverte sur « Blog non officiel de Seta, » ce dont Ayamii m’avait parlé quelques instants plutôt et qui avait déclenché sa colère.

Prise de curiosité, j’alla voir.
Et qu’elle ne fut pas ma surprise ! La personne qui écrivait ce blog ne faisait qu’interpréter des situations auxquelles elle assistait pa hasard, et s’en donnait à cœur joie avec les sous-entendus.
Je ne pus retenir un petit rire en pensant que la crise d’Ayamii était due au fait que l’auteur avait affirmé que j’étais son ex…
Si Ayamii avait réfléchit quelques secondes au lieu de laisser sa colère prendre le dessus, elle aurait bien vu que toute personne les voyant ensemble ne pourrait en aucun croire qu'elle était son ex.

Je soupira, éteignis l’ordi et en regardant par la fenêtre je décida d’aller lire tranquillement dans un coin de l’immense parc de l’Académie. Ne pas profiter d’une aussi belle journée serait un irrespect envers Mère nature que je ne pouvais pas commettre.

J’enfila ma veste, pris mon sac en bandoulière où je mis le livre que j‘avais commencé la veille, mon téléphone portable, et pour éviter de me perdre, un plan de l’école.
Je chaussa mes baskets, et après un dernier regard sur ma nouvelle chambre, je sortis…